Pierre sur tous les fronts : Aindinoise + Madeleine
L'Aindinoise programmée le 16 juillet a vu la venue de Pierre C.
Après un peu de récupération, voici son retour :
"Je reviens rapidement sur l’Aindinoise.
L’inscription à cette cyclo avait pour objectif de faire l’ascension du Grand Colombier.
Ce col manquait à ma collection des grands cols.
Le Grand Colombier, avec ses 1501 m, est le point culminant du Haut Jura et offre un panorama exceptionnel à son sommet.
Il y a 4 ascensions possibles.
Celle proposée par l’Aindinoise cette année, par le versant sud-ouest (Artemare), est la plus difficile : 16 kms, 1251 m de D+. A partir du 9 eme km et jusqu’à la Selle de Fromentel la pente moyenne par kilomètre est de 11,7%, puis 12% , puis 14% et enfin 13,2% avec un passage à 22%. 4 kilomètres d’enfer (en 1998 certains coureurs du Tour de l’Avenir avaient mis pied à terre).
J’ai réussi à passer sans devoir descendre. Je pense que je n’avais jamais gravi 4 kms consécutifs aussi durs.
On retrouve 10 et 11% de moyenne dans les deux derniers kilomètres."
Pour la cyclo "Madeleine" - 2650 m de D+ pour 60 kms :
"Pas de doute, ça monte. Exception faite des premiers kilomètres pour l’échauffement et la descente du col de Chaussy (technique et compliquée) on est dans le dur tout du long. La chaleur était au rendez-vous (arrêt obligé pour moi à tous les ravitos) et ceux qui ont choisi les longs parcours (115 et 135 km) ont vraiment souffert.
Crampes irrésistibles à la cuisse droite, à chaque tentative pour repartir la crampe reprenait. J’étais à 1,5 km de l’arrivée au sommet de La Madeleine…
10 bonnes minutes avant de pouvoir repartir.
Une belle cyclo."
Bravo à lui pour ces belles cyclosportives montagneuses.
Après un peu de récupération, voici son retour :
"Je reviens rapidement sur l’Aindinoise.
L’inscription à cette cyclo avait pour objectif de faire l’ascension du Grand Colombier.
Ce col manquait à ma collection des grands cols.
Le Grand Colombier, avec ses 1501 m, est le point culminant du Haut Jura et offre un panorama exceptionnel à son sommet.
Il y a 4 ascensions possibles.
Celle proposée par l’Aindinoise cette année, par le versant sud-ouest (Artemare), est la plus difficile : 16 kms, 1251 m de D+. A partir du 9 eme km et jusqu’à la Selle de Fromentel la pente moyenne par kilomètre est de 11,7%, puis 12% , puis 14% et enfin 13,2% avec un passage à 22%. 4 kilomètres d’enfer (en 1998 certains coureurs du Tour de l’Avenir avaient mis pied à terre).
J’ai réussi à passer sans devoir descendre. Je pense que je n’avais jamais gravi 4 kms consécutifs aussi durs.
On retrouve 10 et 11% de moyenne dans les deux derniers kilomètres."
Pour la cyclo "Madeleine" - 2650 m de D+ pour 60 kms :
"Pas de doute, ça monte. Exception faite des premiers kilomètres pour l’échauffement et la descente du col de Chaussy (technique et compliquée) on est dans le dur tout du long. La chaleur était au rendez-vous (arrêt obligé pour moi à tous les ravitos) et ceux qui ont choisi les longs parcours (115 et 135 km) ont vraiment souffert.
Crampes irrésistibles à la cuisse droite, à chaque tentative pour repartir la crampe reprenait. J’étais à 1,5 km de l’arrivée au sommet de La Madeleine…
10 bonnes minutes avant de pouvoir repartir.
Une belle cyclo."
Bravo à lui pour ces belles cyclosportives montagneuses.
